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L’information nous vient du Vietnam. Dans ce pays d’Asie, la fête du Têt est très importante. Importante au point qu’en plus de l’explosion des demandes dans les instituts de beauté, coiffeurs, des vietnamiens veulent subir une intervention de chirurgie esthétique.
Or, on vient de s’apercevoir que certains voulaient exploiter ce besoin et sans scrupules. Certains spas proposeraient, en effet, des interventions de chirurgie plastique.
Modification du nez, chirurgie des fossettes, des apprentis chirurgiens esthétiques font croire aux personnes qui viennent dans ces spas, qu’il est possible dans le cadre de salles d’eau et de bains de vapeur de réaliser une intervention qui se déroule normalement en bloc opératoire.
C’est ce qui risque d’arriver quand on considère les tarifs comme un obstacle et qu’on croit pouvoir s’en remettre au premier charlatan venu à condition qu’il soit moins cher qu’un vrai professionnel.
Cette ubérisation de la pratique chirurgicale est extrême. Dans le sens, où elle donne à penser qu’il y aurait d’un côté une pratique très onéreuse et de l’autre uniquement de faux praticiens.
Or, avec les prix de la chirurgie esthétique en Tunisie, on sait qu’on a affaire à des tarifs mieux disant dans la garantie d’être opéré par un vrai chirurgien esthétique formé, qualifié et expérimenté.
Il ne faudrait pas que la chirurgie plastique s’entende uniquement comme un marché. Car dans un marché, il y a normalement de la place pour tout le monde, y compris pour la contrefaçon et les arrangements de bouts de ficelle.
Il est bon et même indispensable que la chirurgie esthétique soit accessible par endroits, que des pays se spécialisent dans les tarifs plus abordables, il n’est pas bon, en revanche, d’oublier que c’est une pratique médicale et qui à ce titre se pratique dans des lieux idoines avec des personnes compétentes et autorisées à le faire.